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16 mai 2011

La naissance du monstre

À l'origine, j'avais prévu de finir mon billet sur Mahabharat mais j'ai eu la mauvaise idée de me mettre devant White Christmas, un drama special de KBS diffusé en février. Du coup, je n'ai pas vu le temps passer devant les 8 épisodes et ce drama m'a laissé un sentiment difficilement descriptible...

24 décembre 2010. Susin High, Alcatraz scolaire perdu en pleine montagne.
Pour ces vacances de Noël, ils sont 7, 1 fille Yoon Eun Sung et 6 garçons Park Moo Yul, Yoon Soo, Choi Ji Hoon, Lee Jae Kyu, Yang Kang Mo et Jo Young Jae, à avoir décidé de rester dans leur établissement. Pas pour travailler car la rumeur veut que réviser pendant les congés porte malheur. Pas pour fuir leur famille non plus. Mais à cause d'une lettre anonyme reçue par chacun et contenant un poème dont le professeur réquisitionné, Yoon Jong Il (Jeong Sok Won), n'a pas connaissance. Aux tensions déjà présentes, va s'ajouter l'arrivée d'un inconnu, Kim Yo Han (Kim Sang Kyung)...
Le loup entre dans la bergerie. Ou plutôt le serial killer s'installe.


Dès le début du drama, une atmosphère pesante se fait sentir. Les élèves s'interrogent, se soupçonnent à cause des lettres. Qui a pu les envoyer ? Pourquoi ? Qu'ont-ils fait pour être détestés à ce point ? C'est aussi au moment des investigations que les rôles se définissent, Park Moo Yul (Baek Sung Hyun) se posant incontestablement comme le meneur. Un rôle nullement enviable car même le professeur se repose sur lui, considérant que s'il y a un problème, il le réglera. Cependant le discret Lee Jae Kyu (Hong Jong Hyeon) l'épaule durant leurs investigations et ils découvrent que tous ont une bonne raison de détester un autre élève. Yang Kang Mo (Kwak Jung Wook) ne supporte pas le violent Jo Young Jae (Kim Yeong Kwang) qui hait le comportement de Yoon Eun Sung (Esom) à son égard. Mais même les plus gentils en apparence comme Yoon Soo aka Angel (Lee Soo Hyuk) ont leur bête noire.
À côté de cela, leurs faiblesses, leur mal-être se dévoilent. Yoon Eun Sung se scarifie. Yoon Soo s'est réfugié dans le mensonge pour échapper à son milieu, à sa vie. Yang Kang Mo se cache derrière son côté bavard, voire commère. Lee Jae Kyu vit mal l'anonymat d'être un meilleur parmi les meilleurs et la solitude. Sur les 7, je crois que seul, Choi Ji Hoon (Sung Joon) se sent bien dans sa peau. Il faut dire qu'il est du genre particulièrement sûr de lui avec un intérêt presque inexistant pour son entourage. À tel point, qu'il se rappelle peu des visages des élèves avec qu'il a eu cours pendant un an. J'ai bien aimé la galerie de personnages construite, voir les caractères changer au fil des évènements. Et puis à la petite bande s'ajoute, le huitième Kang Mi Reu surnommé Mad Mi Reu (Kim Hyun Joong) resté à Susin l'école afin de régler ses comptes. Lui, il tranche singulièrement avec son côté rebelle cependant ça n'empêche pas de se montrer naïf.

Ils vont avoir besoin de toutes les forces réunies pour s'en sortir... En mettant leur débrouillardise et leur ingéniosité en commun, ça doit pouvoir se faire.


Au départ, j'avais un peu peur mais j'ai été vite rassurée par la direction prise. White Christmas porte une interrogation forte « Naît-on monstre ou le devient-on ? » et cette dernière sert de fil rouge. Cela aurait pu être un schéma du genre : un serial killer se pointe. Personne ne le sait. Il va choisir sa première victime, passer à l'acte. Les élèves vont réaliser et essayer de sauver leur peau. Je pense que si cette option avait été choisie, le drama aurait été davantage dans l'horreur, ce qui n'est pas le cas. Ici, l'installation se fait en douceur et grâce à son métier de psychologue, Kim Yo Han peut approcher les élèves. Mais je n'ai pas eu le sentiment qu'il cherchait une victime, qu'il souhaitait tuer. Il faudra une mort pour que les élèves découvrent sa dangerosité. Autant dire que la tension monte d'un cran. Trahison, haine, le petit groupe est poussé dans ses derniers retranchements. D'ailleurs, l'une des métaphores utilisée illustre parfaitement leur situation. C'est pas tout à fait mot pour mot mais : Des zèbres s'approchent d'une rivière pour boire. Sur tout le groupe, un sera sacrifié. Non loin, le lion attend le plus faible, le zèbre blessé. Qui se sacrifiera ? Derrière ces petits jeux et ses consultations, le psychologue cache son réel motif.

La narration fait aussi appel à une voix off qui va changer vers le milieu de la série. On passe du point de vue de Park Moo Yul à celui de  Kim Yo Han. J'ai trouvé ça original et ça contribue à l'absence de diabolisation. Sans compter qu'il a quelque chose de sympathique. Et là, j'ai eu le sentiment d'être prise entre deux facettes.
Le criminel qui a du sang sur les mains.
L'attentif qui réussit à trouver la source du mal être de certains élèves.

En fait, on ne cherche pas à faire aimer, ni détester le psy... J'ai eu l'impression que c'était à moi de choisir, de me faire ma propre idée sur ce qu'il était réellement. Cela crée une sorte de malaise quand on repense à la discussion ayant lieu lors du repas de Noël.

De nombreux twists jalonnent le drama mais cela reste cohérent et les moments de pause, plus calmes arrivent vraiment au bon moment. Même vers la fin, j'ai été encore étonnée. Une fin d'ailleurs qui m'a laissée confuse sur un point. Du côté des plans, je ne m'étendrais pas car ils m'ont tous séduite. Ceux de Angel avec son petit grain de folie, la contre plongée qui semble mettre en avant une ascension vers le ciel, les jeux avec les miroirs illustrant le monstre à deux visages, les courses poursuites qui jouent parfois avec la structure en verre, les batailles dans la neige qui apportent une touche de légèreté...


Au niveau du casting, je dirais jeune et parfait même si  Kim Hyun Joong a été un vrai coup de coeur (En plus sa chanson est Back in Black d'AC/DC <3 ahem). J'adore son personnage barré ainsi que ses expressions. J'avoue avoir fait une fixation sur ses sourcils à un moment. Sinon il m'a fait un peu penser à T.O.P... Dommage qu'on trouve difficilement des informations sur lui. Je ne gardais pas un souvenir extra de Kim Sang Kyung après Call of my country mais là, c'est différent. Sung Joon reste, la dimension enfoiré en plus ici, dans les fils de bonne famille comme avec son rôle dans Lie To Me. Il y a aussi des acteurs que j'espère retrouver : Esom et Lee So Hyuk. Un véritable ange... mais déchu. À part ça, Jeong Seok-Won récidive dans les sportifs.

Mention spéciale pour l'OST  musique classique / electro / rock ( AC/DC, Slipknot , The Pixies \O/ ! ). Par contre, au départ, j'ai cru que l'ending avec Toxic de Britney Spears était une blague... Mais non...
Et au passage voici quelques musiques que vous retrouverez Mongrel... meets his maker - DJ Shadow ; Song 2 - DJ Krush ; You, who do you hate ? - Mansun

1 oct. 2010

Soul : Démons et Justice

Même si ce drama coréen date un peu (août 2009), j'avais envie d'en parler histoire de marquer le début du Challenge d'Halloween. J'ai rarement trouvé une série qui mélange horreur, mystère et drame, habituellement ce sont plus les films. Mais conjuguant les fantômes et l'hémoglobine, Soul (Hon) fait une bonne introduction pour la suite - tant pis pour la tendance vampire, j'ai bien pensé à Freeze maiiis c'est... mission impossible pour moi -.

 « There's a devil inside me »

Lycéennes, les jumelles Ha Na et Doo Na vivent seules avec leur mère depuis la disparition de leur père. En s'interposant dans une incartade, Ha Na rencontre Si Woo, un adolescent passionné de criminologie - un intérêt mal vu par ses camarades. Dès lors les évènements s'enchainent réveillant progressivement chez la jeune fille des souvenirs enfouis. Des faits dont sa mère ne souhaitait pas qu'elle se rappelle. La mort de Doo Na ne fait qu'aggraver la situation mais Ha Na récupère une étrange force surhumaine. Dès lors, elle emprunte un chemin dangereux sur lequel elle croisera Shin Ryu, psycho-criminologue.


Soul s'attache à l'âme de ses protagonistes, la fouille en faisant ressortir leur facette la plus sombre. Un combat entre le bien et le mal se livre mais le bien des uns fait le mal des autres. Destruction, justice, vengeance, peur, chaque personnage possède l'un de ces sentiments mais il y a une invisible barrière que seule la folie peut permettre de briser. La série balance entre rêve et réalité, justice et injustice, le côté mystique de la possession et la manipulation psychologique. Mais dans tout cela, la mort paraît revêtir un caractère inéluctable. Tuer pour protéger ses intérêts, tuer pour venger un proche mort injustement. Le pardon, la rédemption… Bien qu'ils soient évoqués, ces derniers paraissent impossibles. Le temps a beau avoir passé, certaines blessures sont encore vives. Il n'y a pas de système manichéen mais une sorte de rapport inégal où le mal a quasiment gagné puisque les anciens criminels ne regrettent rien et sont même en position de force, protégés par la loi. Toutefois, petit à petit, ils vont connaître le retour de bâton et avoir peur pour la première fois.

Ha Na et des fragments de souvenirs

Les chocs psychologiques successifs amorcent la plongée vers  l'horreur donnant ainsi un côté réaliste à l'histoire et au personnage de Ha Na. Elle n'est pas possédée d'un coup, subitement. Ce sont plusieurs confrontations avec la mort qui la fragilisent et offrent une alternative plausible à son état. À côté de cela, la mécanique entre les personnages est complexe. Les actions du passé se répercutent sur les décisions du présent. Les personnages se sont façonnés d'une certaine façon. Si certaines actions avaient été plus réfléchies, plus juste moralement, la tournure des évènements aurait été différente. Cependant ces enchaînements lient tout le monde, si bien que les personnages secondaires ne sont pas délaissés. Et pour une fois, le triangle "amoureux" se veut particulièrement ambigu. Ha Na est un instrument de Shin Ryu mais elle lui fait entièrement confiance, semblant accepter d'être manipulée. Alors que Si-woo passe du statut d'admirateur de Shin Ryu à celui d'opposant et cherche à protéger l'adolescente à sa façon.

Les couleurs paraissent jouer avec le symbolisme. À certains passages, l'utilisation du noir et du blanc semblent évoquer le yin et le yang. L'association du rouge, - couleur de vie ainsi que de mort -, et du blanc, est aussi quelque chose que l'on retrouve dans la littérature occidentale (exemple dans Un roi sans divertissement ou Perceval). Quant à la musique, le morceau le plus marquant est la Chaconne de Vitali qui fait écho à l'atmosphère de la série. On retrouve la bonne vieille image des jumelles l'une ayant les cheveux longs, l'autre court avec leur lien si fort que même la mort ne peut les séparer, une vraie fusion. Ajoutez à cela, l'idée qu'une personne qui voit les morts à une mission à accomplir pour leur permettre de partir en paix et vous avez une série avec des bases tout à fait classiques mais qui s'en sort admirablement bien. 


C'est avec beaucoup de crédibilité que Im Joo-Eun joue une Ha Na tantôt forte, tantôt fragile aux côtés de Park Ji-Yeon (God of Study), une Doo Na morte protectrice. Face à elles, Lee Seo-Jin (Damo, Yi San) incarne un Shin Ryu oscillant entre le désir de rendre sa justice et la morale. Quant à Keon-il Park, il fait évoluer à merveille un Si-Woo timide, discret vers une personne qui choisit des moyens radicaux. Du côté des personnalités détestables, Kim Kap-Su (Chuno, A Tale of Two Sisters) campe un Do-Sik Baek, avocat de son état, absolument écoeurant et papa d'une mauvaise graine, du nom de Jong-Chan Baek, un lycéen joué par Yu Yeon-Seok. Tel père, tel fils dans l'intrigue.

Se finissant sans happy end, Soul est une série à la fois dérangeante et bien ficelée; 10 épisodes pour ce qui ressemble à une descente en Enfer. Si l'histoire se veut  évidemment fictive, la cruauté humaine qu'elle dépeint, me le semble beaucoup moins.

À conseiller, tout de même, uniquement aux amateurs de sensations fortes !

17 sept. 2010

Lycéens, Geishas et Enquêteurs

Un petit triplé de ce que j'ai vu, entre autres, depuis le début du mois. Chosun Police 3 mériterait, plutôt, un billet lui étant entièrement consacré mais ce sera pour la fin du drama.


Playful Kiss. Je n'ai regardé que les 16 premières minutes mais elles m'ont parue très longues. On commence par une introduction dans une forêt enchantée avec l'héroïne endormie au pied d'un arbre pendant que le beau prince se promène dans les bois. Et voilà qu'il aperçoit la jeune fille, s'approche et la réveille avec un baiser (la belle au dormant ?). Un cheval magique débarque puis on vire limite dans Alice au Pays des Merveilles avec les plantes qui apparaissent au passage de Ha Ni. Mais ça, ce ne sont que les 5 premières minutes où on est plongé dans son rêve. Comme l'héroïne de Hana Yori Dango, elle a l'occasion de nous montrer qu'elle a un sacré kick - En plus ses camarades lui jouent même une petite musique -. Bon l'arrivée de Seung Jo (Kim Hyun Joong) suscite immanquablement de l'émotion mais pendant que Hang Ja Mi (autre lycéenne) s'évertue à attirer son attention, il s'excite sur le distributeur automatique. Ja Mi  finit par appeler Ha Ni. Toutefois, sous le coup de l'émotion, cette fois, l'adolescente n'arrive pas à kicker  correctement la machine qui rend sa pièce (au lieu d'une cannette) à Seung Jo. Enfin dans tout ça, le vrai tour de force est le manque flagrant d'expressivité de Kim Hyun Joong. Et bref, ces 16 premières minutes se finissent sur un bout du lac des cygnes. Ce fut trop pour moi.

Ont-ils fait ce drama pour les fans de Kim Hyun Joong ? Est-ce que personnage arrogant signifie inexpressif ? Comme il s'agit de l'équipe ayant réalisé Goong et BOF, est-ce qu'ils se sont dits que ce serait facile ? Enfin n'étant pas une fan hardcore de Kim Hyun Joong, ni du genre, j'ai préféré abandonner rapidement. Un peu lâche, mais j'assume. Je pense que le drama parlera davantage aux amateurs de pur "romance/school life". 


Hanaikusa - Kyoto Gion Densetsu no Geisha, Iwasaki Mineko. Coup de coeur pour ce tanpatsu de 2007. Basé sur l'autobiographie de la geisha, Iwasaki Mineko incarnée par Inoue Mao, il nous montre son parcours et le désir de devenir la meilleure geisha de Gion. Leur monde est vraiment proche d'un champ de bataille où tous les coups sont permis et où tomber amoureuse peut coûter la vie. Avec le rejet d'un homme, une geisha peut perdre sa place ainsi que celle de femme. C'est pour cette raison que Mineko refuse de tomber amoureuse. Cependant la rencontre avec une star de cinéma, Takamiya-san (Nakamura Toru), va la troubler. La sincérité et la pureté des sentiments de l'homme n'influeront pas sur la décision de la jeune fille. Mais dès son entrée dans l'univers des Geisha, elle fait face à des moments difficiles. Elle a 4 ans et on la dépossède de son nom. Masako meurt pour devenir Mineko. Autre problème, la gérante de l'Okiya souhaite en faire son successeur, ce qui n'est pas du goût de tout le monde. Il y a des moments très durs comme celui où on voit ce petit bout de chou de 4 ans nettoyer les toilettes ou lorsqu'elle demande à être adoptée par la gérante de l'Okiya et dit "Masako est morte" à 10 ans devant ses parents biologiques.

Sur le plan historique, l'action se déroule durant l'ère Showa et la vraie Iwasaki Mineko a coaché les actrices (Façon de parler, attitude). Force, tristesse, détermination, incertitude, le personnage principal possède tellement d'émotions différentes qu'il en éclipse les autres femmes.


Chosun Police relate les enquêtes d'une brigade scientifique durant l'ère Joseon (plutôt vers la fin de cette dernière, donc on retrouve des appareils photos, des armes à feu... Les occidentaux étant passés par là). La 3eme saison (Byul Soon Geom 3) a commencé le 4 septembre.

Le début du premier épisode est vraiment splendide. Outre une petite partie explicative sur les Gisaeng, il présente le spectacle de l'une d'elle, Jin Geum Hong (Kim Shin Ah), la plus célèbre des Giseang de Hanyang (dans l'épisode). Sa danse est accompagnée d'une musique traditionnelle magnifique ajouté à cela une danse et un jeu de lumière sublime. Malheureusement pour elle, notre chère courtisane meurt très vite et les enquêteurs se retrouvent à explorer toutes les pistes. Des flashbacks et des scènes de reconstitution apparaissent de temps en temps quand une nouvelle explication ou piste surgit. Mais parfois le côté enquête, mystère est un peu masqué par l'attitude de Choi Do Gon (Sung Ji Roo). Il parle trop et son comportement est du ressort du comique, ce qui contraste avec celui de Shin Jung Hoo (Jung Ho Bin) et Cha Gun Woo (Min Suk). J'ai oublié par moment, l'aspect 'policier'. Les parfaits coupables ne manquent pas à l'appel mais la méthode utilisée pour tuer et les mobiles sont plus tordus qu'il n'y parait. On rappelle que les apparences sont trompeuses et finalement, il y a une certaine ironie derrière la mort de Geum Hong. Malgré des éléments intéressants, j'ai eu du mal à accrocher totalement à cet épisode. Toutefois la fin m'a motivée avec l'envie  de Seo Yeon Doo (Min Ji Ah) de quitter son poste de journaliste et rejoindre les enquêteurs.



L'épisode 2 m'a paru assez bancal à ce niveau-là. Yeon Doo étant une rookie, sans forcément la former, on pourrait supposer que les autres la surveillent un minimum. Mais non, elle disparait puis réapparaît, d'un coup, avec des éléments nouveaux. On joue probablement sur le fait qu'ancien journaliste (pas de femme journaliste à cette époque), elle avait l'habitude de fouiner, chercher des informations et se montrait débrouillarde. Sinon l'intrigue fonctionne bien, cependant la fin est vraiment horrible. J'avais les yeux humides devant ce que l'équipe avait découvert (aucun spoiler ne se glissera dans ce billet ;) ). Mention spéciale pour Park Choong Ok (le médecin légiste joué par Lee Doo Il) et Han So Hee (l'assistante du légiste par Lee Jae Eun) qui, avec les techniques de l'époque, fournissent des indices aux enquêteurs.

Et pour finir, quelques images de Kim Shin Ah qui est juste sublime en gisaeng ♥